Cherchant dans les chichas les nymphes égarées,
j’y ai trouvé la minette au teint ultra-violet.
La ruminante est là.
« Ô beurette, tu manipules ton Hollywood® avec une telle dextérité,
faisant ombrage au plus talentueux des bovidés ».
Pleine de complexes-cités, souvent perdue entre deux salons de thé elle s’impose.
« Sur tes cheveux éclatants
pourquoi flottent ces crans menaçants ? »
Exagérant beauté, elle se chamarre, se parfume.
« De quoi sont faites ces fragrances ?
De pomme, de menthe ou de raisin ? »
La princesse s’autoproclame. Elle est songeuse.
« Rêves-tu de prendre le large Altesse ?
Les cieux sont-ils plus beaux à Dubaï et les émirs plus charmants ? »
En attendant, elle va, parcourant tous les objets flatteurs.
Ce que beurette veut, dieu le veut. Et elle l’aura.
De ces chroniques d’un nouveau genre tu t’inspires : « Nadia, toi aussi dans le « hallal » un mariage tu feras ! »
Pour conclure cette ode qui t’est consacrée Ô beurette, je te dédie ces quelques vers d’Hugo :
"Ainsi, jeunesse vive et frêle,
Qui, t'égarant de tous côtés,
Voles où ton instinct t'appelle,
Souvent tu déchires ton aile
Aux épines des voluptés"
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