jeudi 5 janvier 2012

Ode à la beurette.



Cherchant dans les chichas les nymphes égarées,

j’y ai trouvé la minette au teint ultra-violet.

La ruminante est là.

« Ô beurette, tu manipules ton Hollywood® avec une telle dextérité,

faisant ombrage au plus talentueux des bovidés ».

Pleine de complexes-cités, souvent perdue entre deux salons de thé elle s’impose.

« Sur tes cheveux éclatants

pourquoi flottent ces crans menaçants ? »

Exagérant beauté, elle se chamarre, se parfume.

« De quoi sont faites ces fragrances ?

De pomme, de menthe ou de raisin ? »

La princesse s’autoproclame. Elle est songeuse.

« Rêves-tu de prendre le large Altesse ?

Les cieux sont-ils plus beaux à Dubaï et les émirs plus charmants ? »

En attendant, elle va, parcourant tous les objets flatteurs.

Ce que beurette veut, dieu le veut. Et elle l’aura.

De ces chroniques d’un nouveau genre tu t’inspires : « Nadia, toi aussi dans le « hallal » un mariage tu feras ! »

Pour conclure cette ode qui t’est consacrée Ô beurette, je te dédie ces quelques vers d’Hugo :



"Ainsi, jeunesse vive et frêle,

Qui, t'égarant de tous côtés,

Voles où ton instinct t'appelle,

Souvent tu déchires ton aile

Aux épines des voluptés"

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